Tout a commencé lors d'une conversation dans un restaurant chic, à Zadar, en Croatie. Damien et moi nous étions rendus dans cette ville pour une escapade romantique à l'occasion de notre dixième anniversaire de mariage, et nous profitions d’une soirée calme autour d’un verre, de l'ambiance et de la compagnie de l'un et de l'autre.
Après quelques verres de vin, la conversation devint plus espiègle, ce qui amena mon homme à me demander : "Sophie, tu ne t’es jamais imaginée ce que ça ferait d'être avec un autre homme après tout ce temps ?".
J'ai souri, et avant que je puisse répondre, Damien me dit, en levant les sourcils : "Si, tu l'as fait !”
Il était surpris, persuadé que je ne le tromperais jamais, alors j'ai répondu honnêtement : "J'ai des fantasmes. Mais c'est tout."
"Dis m’en plus, ma chérie", m'a-t-il demandé. "Quelqu'un qu'on connaît ?"
"Non", lui dis-je. "Des étrangers. Une rencontre ou un plan d'un soir sans rien de plus".
Damien voulait manifestement en savoir plus, et l'alcool me donnait la confiance nécessaire pour partager mon récit.
"Les scénarios changent souvent", ai-je commencé, "mais il se peut que je sois en train de boire un verre, seule, dans un bar classe, lorsqu'un homme bien habillé m'aborde et me propose de m'offrir un verre".
"Et moi, je suis où ?” demande Damien.
"Je ne sais pas. Il ne s'agit pas de toi. Je ne pense pas à te tromper dans mes fantasmes. Il ne s'agit que de moi."
"A quoi ressemble l'étranger ?", m’a-t-il demandé, en quête de plus de détails.
"Il n'y a pas de type d’homme, juste le sentiment qu'il est attirant et sexy.
"Et que se passe-t-il ?” me demande-t-il. Mes réponses semblaient l’exciter beaucoup.
"On se drague, on rit, puis il m'emmène dans une chambre d'hôtel pour baiser sauvagement. Je te le dis aussi simplement que possible.”
Damien me regarde avec étonnement.
Un silence passe, avant qu'il ne me dise : "Faisons-le".
"Faire quoi ?" demandai-je, incrédule.
"Demain soir,on se met sur notre 31, je me ferai passer pour un inconnu et je viendrai t'aborder au bar de notre hôtel.
"Un jeu de rôle ?"
"Oui, pourquoi pas ? Ce sera amusant."
En effet, ça avait l'air amusant.
Le lendemain, après une journée détente, nous rentrons dans notre chambre d'hôtel et nous nous préparons pour notre soirée de jeu de rôle.
Damien choisit un costume que je trouve particulièrement séduisant, et me dit qu'il irait se promener avant de revenir dans une heure environ. Après m’être habillée, je devais attendre qu'il vienne m'aborder au bar de l'hôtel.
Je choisis de porter une nouvelle lingerie sexy pour plaire à Damien, ainsi qu'une robe sexy que j'aurais à peine osé porter en public à Paris. La robe était courte et assez transparente, mais elle était parfaite pour notre jeu de rôle.
J'ai rapidement rangé la chambre et, pour rester fidèle au fantasme, j'ai caché toute trace de Damien ou de ses possessions.
Mon mari allait bientôt rentrer à l'hôtel, et je voulais être au bar quand il entrerait.
Au moment de partir, je décide d’enlever ma culotte. Damien apprécierait cette touche coquine. Pour aller jusqu’au bout, je décide d’enlever mon alliance et la range dans mon sac à main avant de me diriger vers le bar.
J’arrive au bar, et Damien n’est pas là. Je suis consciente d'attirer quelques regards alors que je commande une coupe de champagne, avec ma tenue courte et sexy : mon mari va adorer.
Arrivée à la moitié de mon verre, je remarque Damien qui entre dans le bar, et se tient à quelques mètres de moi au bar.
Comme prévu, nous faisons comme si on ne se connaît pas, tandis qu'il prend un verre et se dirige vers une petite table dans le coin, derrière moi. Il avait une bonne vue sur moi, mais je devais me tourner un peu pour le voir, ce que je m'efforçais de ne pas faire.
Mon verre était presque vide lorsque je sens la présence d'un homme derrière moi.
"Puis-je vous offrir un verre, madame ?", me demande une voix grave, qui n’était pas celle de mon mari.
Je me retourne avec surprise, et me retrouve face à un homme à couper le souffle. Grand, musclé, bronzé et vêtu de façon impeccable. Il était si beau que je me suis mordu la lèvre.
"Puis-je vous offrir un verre, madame ?", a-t-il répété.
"Je, je, je...." ai-je bégayé, regardant Damien, qui hausse simplement les épaules, l’air aussi surpris que moi.
Cela faisait longtemps qu'on ne m'avait pas abordée dans un bar, et, je me sens toute surprise.
"Comment savez-vous que je parle anglais ?
"J'ai entendu que vous commandiez votre boisson", a-t-il répondu avec son bel accent des pays de l’Est
Je regarde Damien, qui me regarde avec excitation. Je décide donc de prendre un verre avec ce bel inconnu, puis repousser ses avances avant de laisser le personnage du jeu de rôle de Damien me séduire. Cela ne ferait qu'amplifier le fantasme.
"Une coupe de champagne alors", dis-je avec autant d'assurance que possible. J'explique que j'attends qu'un ami me rejoigne.
L’homme se présente sous le nom de Jan, et s'assoit à côté de moi. Il est vraiment très beau, avec un sourire charmeur et des yeux pétillants. Le bar étant bruyant, il se penche parfois vers moi pour mieux m'entendre, me laissant sentir son doux parfum.
Il est aussi beau qu’intéressant et il semble s'intéresser à ce que je dis, même si nos interactions ressemblent de plus en plus a du flirt. Pour être tout à fait honnête, j’en oublie momentanément Damien.
Soudain, il pose une main sur mon genou, et m’offre un autre verre. C'est à ce moment-là que je me rappelle que je suis une femme fidèlement mariée et que mon mari se trouve à quelques tables de là.
"Je suis désolée", ai-je commencé, "je dois vraiment voir ce qui retient mon ami".
Je prends mon téléphone dans mon sac et envoie un SMS à Damien :
“Je pense que tu dois intervenir. C'est allé assez loin.”
“Tu ne t'amuses pas ?”
“Bien sûr. Mais sa main est sur mon genou, et je ne sais pas quoi faire.”
“C'est juste ton genou, Sophie. Je trouve ça sexy.”
“Est-ce que ça t'excite ?”
“Énormément, j’ai envie de voir jusqu’où cela peut aller.”
“Moi aussi.”
Je me tourne vers Jan et lui explique que mon ami serait en retard : nous avions le temps de prendre un autre verre.
Ce deuxième verre se transforme en un troisième, et je me sens de plus en plus désinhibée par l’alcool
"Je ne pense pas que ton ami vienne", me dit Jan.
"Je lui renvoie un message", dis-je, saisissant mon téléphone.
“Ce n'est pas ainsi que je m'attendais à passer notre anniversaire de mariage, Damien.”
“Il ne se passe pas un jour sans que je te trouve sublime, mais j'ai peut-être oublié que d'autres hommes te trouvent aussi attirante. C'est très excitant. Je veux que tu t'amuses.”
“Si tu ne m’arrêtes pas maintenant, je ne pense pas pouvoir m'arrêter.”
“Je ne veux pas que tu t'arrêtes, ma chérie.”
Je prends une grande inspiration, me tourne vers Jan et lui dit : "Tu as raison. On m'a posé un lapin. Je suis toute seule."
"Alors laisse-moi te tenir compagnie, Sophie", me dit-il en souriant et en posant sa main sur mon genou, de nouveau.
Je lui sourit, et écarte légèrement les jambes : Jan en profite pour déplacer sa main un peu plus haut sur ma cuisse.
Je regarde Damien directement pendant qu'il le fait, jaugeant soigneusement sa réaction. Je m'attends à ce qu'il réagisse avec colère ou avec jalousie, mais il ne peut s'empêcher de sourire. Il sourit encore lorsque Jan se penche vers moi et commence à m'embrasser dans le cou.
Je n'aurais jamais laissé Damien me toucher aussi explicitement en public. Pour être honnête, je me sens envahie par le désir et l'excitation, amplifiés par le fait de savoir que Damien observe chaque interaction.
"Mon appartement est tout près", me chuchote Jan.
"J'ai une chambre dans cet hôtel", lui dis-je, me choquant moi-même.
Jan me prend par la main, et se lève. Je me tourne vers Damien qui se contente de me répondre par un signe de tête encourageant.
On entre dans l'ascenseur et les portes se referment derrière nous. Jan m’embrasse. Ma robe courte est remontée, et, lorsqu'il a saisi mes fesses, je sens ses mains fortes contre ma peau, et son sexe dur. Il se rend compte de mon absence de sous-vêtements.
"Je pense que la personne qui t'a posé un lapin fait une terrible erreur", a-t-il plaisanté.
Nous nous embrassons encore en entrant dans la chambre d'hôtel, et j’enlève ma robe, toute excitée.
Damien est le seul homme devant lequel je me suis retrouvée nue depuis notre mariage.
Jan, encore vêtu de son pantalon, me regarde d’un air excité, tandis que je marche résolument vers lui. Je veux sentir ses mains sur mon corps nu.
Je suis nue et vulnérable, dans une chambre d'hôtel avec un étranger pour la première fois depuis de nombreuses années, mais il me fait me sentir en sécurité et respectée.
Nous nous embrassons, ses mains sur mes fesses. Jan m’embrasse dans le cou et me caresse les seins.
Je sens à nouveau son pénis en érection à travers son pantalon et je me mets dos à lui, avec mon cul contre son sexe. En retour, glisse lentement une main sur mon ventre, ne s'arrêtant que lorsque ses doigts ont atteint mes poils pubiens.
Le doux inconnu caresse mon pubis et taquine l'intérieur de mes cuisses, mais évite de toucher ma vulve ou mon clitoris. Mon excitation grandit et mon corps commence à trembler doucement.
Je me vois dans un miroir et je suis captivée par la vue de mon corps nu et de l'inconnu dont les mains étaient sur mes seins et ma chatte.
Sentant mon excitation monter, il commence à caresser et à taquiner ma chatte, n'effleurant mon clito que légèrement au début, jusqu'à ce que je m'habitue à son contact, avant que ce contact ne devienne plus vigoureux et plus ciblé.
Ce toucher, associé aux caresses continues sur mes seins et aux baisers dans mon cou, est exquis et je sens mon corps se tendre à l'approche de l'orgasme.
Jan continue à stimuler mon clitoris jusqu'à ce que je gémisse bruyamment et de manière incontrôlable jusqu'à l'orgasme. Jan m’allonge délicatement sur le lit, et met sa tête entre mes jambes.
Jan commence à embrasser mes jambes, et se rapproche de mes cuisses. La perspective que cet étranger pose ses lèvres et sa langue sur ma chatte m’excite autant qu’elle me fait culpabiliser : mon mari est cocu, par ma faute.
“Arrête d’avoir peur, Sophie, me dis-je. Damien sait parfaitement ce que tu fais, et cela semble beaucoup l’exciter. Tu restes sa femme, vous êtes mariés depuis 10 ans : une petite expérience comme celle-là pourrait même ajouter du piment à votre couple, qui sait ?”
Jan embrasse et caresse l'intérieur de mes cuisses, et j’écarte mes jambes aussi largement et de manière aussi provocante que possible, signalant sans vergogne mon désir et offrant à ce bel homme une invitation qu'il a acceptée avec enthousiasme.
Tout sentiment de culpabilité est fugace, remplacé par le frisson de l'attention délicate et attentive que Jan porte à mon plaisir. Jan me donne plusieurs orgasmes en quelques minutes.
C’était à mon tour de lui faire plaisir, désormais.
Je me mets derrière lui, et je détache sa ceinture, avant de mettre la main dans son caleçon.
Sa queue est en érection et me semble anormalement grosse dans ma main. Je me mets à faire des allers-retours lentement avec ma main.
Jan se retourne. Sa queue n’est pas très différente de celle de Damien, mais avoir face à moi le pénis d’un autre homme en érection m’excite au plus haut point.
Je me demande s’il appréciera les mêmes touchers et techniques que Damien, mais je résous à sucer sa belle queue pour mon plaisir, pas le sien.
J'ai doucement léché ses testicules, embrassé et caressé son pénis épais, avant d'enrouler mes lèvres humides autour de son gland. Il a gémi avec enthousiasme lorsque j'ai levé la tête et l'ai regardé dans les yeux.
Je continue à descendre le long de sa queue jusqu'à ce que mon visage soit pressé contre son ventre. Je continue à le sucer en fermant les yeux,en allant de plus en plus vite.
À ma grande surprise, il se retire brusquement de ma bouche pour éviter de jouir.
"C'est bon", ai-je insisté. "Tu n'as pas besoin de t'arrêter.”
"Je veux d'abord être en toi, Sophie", me dit-il.
J’avais désormais trop envie de baiser avec Jan, et, en même temps, j’étais si heureuse que mon mari m’ait offert la possibilité de réaliser mon fantasme, en m’ayant offerte à cet étalon.
Me retrouver face à lui m'aurait semblé trop intime, trop personnel, alors je tourne le dos à Jan et je me mets à quatre pattes sur le lit. Mon visage est enfoui dans un oreiller tandis qu'il saisit mes hanches et pénètre lentement ma chatte avec sa queue si dure...
Je n’en perds pas une miette, et ne manquerai pas de raconter toute cette histoire à mon mari dans les moindres détails, de la manière la plus érotique qui soit. Si j’avais pu, j’aurais même aimé qu’il soit là pour nous observer, Jan et moi, sa femme…
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