Le BDSM propose un nombre de pratiques impressionnantes. Certaines sont particulièrement appréciées par les gays et lesbiennes.
La s*domie, le BDSM ana*l
Chez les gays, la s*domie occupe une place centrale puisque privé de vag*in, cela reste le seul orifice à pénétrer avec la bouche.
Puisque le BDSM se veut le cumul d’un plaisir coquin et de la douleur, la pénétration ne se fait pas forcément avec les attributs génitaux.
On cherche à repousser les limites de la douleur et pour ce faire, on s’adonne à des surfaces plus grandes, plus larges en pratiquant le f*st fuck*ng ou la s*domie grâce à différents objets tels que des plugs.
Attention, il ne faut pas non plus partir dans des projets inconsidérés, le web regorge de témoignages et d’anecdotes qui font froid dans le dos tant elles ont eu des répercussions dramatiques sur le corps de certaines personnes.
Les exemples les plus connus sont un hamster vivant qui se serait baladé près de l’abdomen d’un homme ainsi qu’une bouteille de champagne qui aurait pété dans un a*us. Entre animal vivant qui court partout et multitudes de débris de verre, on vous laisse imaginer les dégâts.
Peu importe le degré et l’ambition de la pratique, veillez à toujours conserver les notions élémentaires qui accompagnent l’anal : anulingus, massage prostatique et lubrifiant sont de mise !
Voire un lavement anal qui fait également partie des pratiques BDSM car une pipette qui envoie des jets d’eau internes peut également être une forme de plaisir.
La punition, juste comme très sévère
Avez-vous déjà fréquenté des bars ou discothèques homos*xuels ? Même pas en conquête d’une proie mais juste pour découvrir un nouvel endroit ou accompagner un ami ?
Je peux témoigner que l’on reçoit généralement bien plus de sollicitations et bien plus équivoque que dans un lieu traditionnel. Souvent on n’y va pas par quatre chemins…
Certains ne proposent pas de boire un verre mais bien immédiatement de découvrir de nouveaux plaisirs en rapport avec la punition.
Et pour punir, l’univers gay et lesbien BDSM peut compter sur de nombreux accessoires à sa disposition :
- l’étireur de bou*rse qui ajoute des poids pour faire pendre les testic*les, en fonction de sa résistance à la douleur, on peut y aller crescendo en augmentant la charge. Attention, on ne parle pas de poids d’un kg, soyez vigilants !
- les bougies, particulièrement en vogue chez les lesbiennes pour brûler des parties sensibles ou y laisser couler de la cire, parfois comestible pour prolonger le plaisir en mordillant après la brûlure.
- les pinces tétons, qui en plus de simples pince à linge, trombone ou autre peuvent être reliés à des poids ou à un courant électrique. Certains utilisent des chaises de torture qui combinent plusieurs possibilités.
- les fessées, soit à la main nue pour celles et ceux qui ont une bonne poigne, soit par l’intermédiaire de martinets, fouets ou encore de paddles pour les plus désobéissants qui souhaitent avoir le derrière bien rouge !
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